Vous envisagez de travailler avec un partenaire offshore pour vos projets IT ? La clé d'une collaboration réussie réside dans l'intégration harmonieuse des deux équipes.
Mais, comment garantir une collaboration réussie avec votre partenaire ?
La réponse demeure dans trois piliers fondamentaux : la confiance, la culture et la communication. Ces éléments permettent de bâtir des bases solides pour une coopération efficace.
Confiance
La confiance ne se joue pas au hasard, elle se gagne et se cultive avec le temps.
En affaires, la confiance se construit à travers :
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L’intégrité : Dire ce que l’on fait et faire ce que l’on dit.
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La transparence : Être transparent sur les attentes et les engagements.
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La constance : Tenir ses promesses sur le long terme.
- La valeur ajoutée : Apporter des résultats et montrer son expertise.
Une structure solide chez un partenaire offshore inspire confiance en montrant sa stabilité et son professionnalisme. Des processus clairs, une gestion rigoureuse et un cadre formel comme la signature d’un NDA renforcent la sécurité et réduisent les risques. C’est aussi la preuve d’une réelle capacité à gérer des projets complexes et à bâtir une collaboration durable.
Enfin, la confiance pave le chemin vers une culture commune forte entre les deux équipes.
Culture
C’est l’ensemble des valeurs, pratiques et du mindset partagé qui favorise la collaboration entre les équipes internes et offshore en créant un cadre de travail partagé.
Chaque agence a son ADN , Il est essentiel d’avoir une vision claire pour choisir le bon partenaire ou la relation dépasse le cadre classique prestataire-client pour devenir une véritable unité, où la réussite comme les défis sont portés ensemble.
Chez PixiMind par exemple, 100 % de ces partenariats ont été maintenus au cours ces 11 ans , selon les dernières statistiques de 2024, grâce à ces 7 principes :
Et en fin de compte, cela démontre que des slogans comme ‘Geek culture’ sont plus que des mots!
Communication
Dans une collaboration à distance, savoir à qui s’adresser à chaque étape évite les confusions et accélère la prise de décision. Pour cela, il est crucial de définir un timing précis pour les points de contact, qu’ils soient quotidiens ou hebdomadaires.
Ce processus permet non seulement de mieux répartir les tâches mais aussi d’intégrer des outils de communication adaptés.
Par exemple, des réunions synchronisées (vidéoconférences) pour des discussions immédiates tout en respectant les fuseaux horaires et des échanges asynchrones (emails, slack, plateformes collaboratives) pour une gestion plus souple des informations.
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Qui contacter ? Un référent clair par sujet.
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Quand échanger ? Un rythme fixe (daily, weekly).
- Comment ? Visio pour décider, mails/Slack pour suivre.
L’écoute active joue aussi un rôle clé , être attentif aux retours des équipes permet d’ajuster les processus pour les rendre plus efficaces. Certaines entreprises s’appuient enfin sur une matrice RACI pour préciser qui pilote, qui valide et qui contribue à chaque étape, ce qui réduit les zones d’ombre.
Conclusion
Finalement, la confiance, la culture et la communication sont clés pour atteindre des objectifs communs, dans un cadre collaboratif.
Si vous partagez la même vision d’une collaboration efficace, parlons-en et construisons ensemble la réussite de vos projets IT!
